Lundi 17 novembre 2014
Un dîner chez les G de la G ***
Cette perspective de dîner aux champignons chez les Gédélagé ( G de la G *** ) avait donc gâché le dimanche de Maxime Paumier. Mais il fallu bien s'y rendre, on ne peut pas toujours dit non comme aux cousins de Mouzillon, mais Mouzillon c'est à trente kilomètres de N ***
Donc à dix neuf heures sonnant à la chapelle des Franciscains les Paumier sonnèrent sonnant sonnèrent à la porte des G de la G *** .
Suivi l'autre couple invité les G *** alors ce fut un repas des familles, apéro, nouilles, champignons, petit gâteau bourratif, fruit. On causa de tout et de rien de la mort de la collègue de G *** d'un cancer foudroyant, l'on rît quand même, des Folles journées, de l'intrusion des cambrioleurs qui entrent par les jardins, du bonheur de coucher sur un surmatelas que les G *** ont acquis après en avoir apprécié les bien faits en couchant dans un hôtel Ibis.
Puis la femme de G *** sans doute un ex médecin dit bon ben il faut bien aller se coucher, tout le monde se leva, chacun finissant de raconter sa petite histoire, on se bécota, ah vous c'est trois ! G de la G **** donna à Paumier des boutures de glycine et l'on se sépara. Merci merci
Et à vingt deux heures les Paumier étaient chez eux et Paumier à vingt deux heures trente dans son lit. Madame s'était globalement bien conduite.
Il fait encore nuit, Paumier se lève avec la gueule de bois il a bu. Quatre verres. Il n'a plus l'habitude. Mais surtout deux plâtrées d'assiette de nouilles et de champignons. Il n'a plus l'habitude. Il a la tête dans un étau, et l'estomac bien lourd. Régime aujourd'hui.
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